Herbe magique


Le bambou, appartenant aux plantes graminacées, est appelé « herbe magique » par les experts, pouvant pousser sur plus d'1 mètre par nuit et sur 20 mètres après 2 mois. La régulation de la reproduction du bambou diffère de celle du bois : lorsque le bambou a poussé pendant 5 ans, il doit être coupé à temps, sinon cela affectera sa reproduction. Réduire raisonnablement le bambou améliorera l’écologie plutôt qu’elle ne l’empirera. La capacité de reproduction du bambou est forte, ce qui en fait une exploitation éternelle après une plantation. Avec des feuilles épaisses de bambou, vertes toute l’année, la fonction écologique du bambou est très forte, ce qui permet de libérer 35 % plus d’O₂ que le pin et un seul bambou peut conserver 6 cbm d’eau et de sol.

                                                                                                                        

La croissance la plus rapide


Le bambou pousse rapidement sans engrais chimique ni pesticide. C’est l’une des plantes qui pousse le plus vite, pouvant devenir utile en 3 à 5 ans.

Usine d’acier


Honoré par les experts en architecture comme « acier végétal », les matériaux bamboués, légers et excellentes performances physiques, sont des matériaux parfaits pour une structure de construction (le rapport entre résistance à la flexion et poids du bambou est 5,47 fois supérieur à celui de l’acier). Le rapport entre résistance à la flexion et poids est appelé par une autre ténacité spécifique. Les excellents matériaux pour structure doivent avoir une ténacité spécifique plus élevée afin de supporter une plus grande résistance même si la surface de contact est petite, ce qui pourrait réduire le poids de l’ensemble du bâtiment. Plus la ténacité spécifique est élevée, plus le matériau requis est léger.

 

Écologique


Le bambou a une fonction écologique parfaite. Si le bambou est abattu raisonnablement, il ne détruit pas l’environnement écologique et il est utile pour la reproduction du bambou ; Lors du traitement des matériaux de bambou, il ne libère pas de substance toxique ; Les émissions de formaldéhyde dans les produits de bambou pourraient atteindre l’E0 selon la norme européenne ; Il pourrait se dissoudre d’elle-même après l’élimination. Selon les recherches sur le solide de l’Académie chinoise des sciences, nous constatons que : la capacité de séquestration du carbone du bambou est bien supérieure à celle des autres bois. Un hectare de bambou Moso pourrait fixer 5,09 tonnes de carbone, soit 1,46 fois plus que le pin et 1,33 fois plus que les bois tropicaux.